Théâtre et Compagnie
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Thomas Di Genova - © Yann Capy
- Dossier
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Images de la bande-annonce
- Sondage sur l'affiche de votre choix.
- Commentaires sur les deux affiches proposées
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L'affiche
définitive
- Version scénique - Etat de novembre 2012
- Version scénique - Etat de décembre 2012
- Version scénique - Etat de janvier 2013
- Compte rendu de deux élèves de TL à partir de la version scénique
Images, commentaires et comptes rendus
Les commentaires accompagnant ces images ont été rédigés par les élèves de TL du lycée Ella Fitzgerald de Vienne, encadrés par leur professeur Rachel Allaoui. Merci à eux !
- Photographies diverses du spectacle
- Un décor nu, seulement sculpté par la lumière
- Les costumes
- L'intérêt et les limites de la modernisation
- Lorenzo
- Le duc Alexandre
- La marquise Cibo
- L'importance du marchand et de l'orfèvre
- Compte rendu de Violaine R.
- Compte rendu d'Emmanuelle V.
- La scène qui m'a le plus marqué : la première, au bal des Nasi (I, 1)
- Articles critiques de presse
« Cette ballade de Lorenzo sera peut-être un blues, mais peut-être aussi un solo de guitare rock électrique déchirant… Comment traduire l'itinéraire de ce "jeune homme du siècle", qui se demande ce qu'il peut faire pour transformer réellement le monde noir, injuste et violent dans lequel il ne peut plus vivre ? Une version en noir et blanc, à la Dogville, un dépouillement scénographique extrême, une musique de scène qui sculpte les corps et le décor, nous permettront d'interroger très crûment l'énigme de ce "soldat perdu" et de restituer les enjeux principaux de cette partie de poker menteur où chacun recherche son intérêt profond sous tous les masques possibles. Ce héros divisé, vain, malade dans sa volonté, brûlé aux illusions du plaisir facile, nous paraît toujours contemporain. Sa complexité va jusqu’au rapport trouble et troublant qui unit la victime et son meurtrier. Lorenzo est un contre-héros, un personnage déchu, impur, qui aspire à la pureté, mais déjà empoisonné par le mal qu’il dénonce tout en s’y vautrant. Peut-être se bourrerait-il aujourd'hui de cachets… Au final, Lorenzo n’est qu’une illusion d’homme. Un masque, une marionnette dans les mains des autres… Cette dérision, ce néant sont hallucinants. Musset, névrosé, annonce Baudelaire jusque dans son impuissance.» Michel Belletante |
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